Pour clôturer ce mois de septembre dédié au street-art lyonnais, voici 5 sources d’informations et d’inspirations :
Un livre : Petite Poissone : je ne suis pas une street artist
Ce livre est sorti cet été, parle d’une artiste grenobloise et a été écrit par la journaliste lyonnaise Julie Hainaut ! Plus local, tu meurs ! A travers ces pages, on découvre l’artiste qui tantôt dessine, tantôt colle ses punchlines dans la ville, dans les villes car on voyage en découvrant les différents spots investis par Petite Poissone. Une séance de dédicaces est prévue vendredi 5 octobre à 19h au Livre en Pente !
Un documentaire : Girl Power
Merci Marlène pour la découverte !! Le titre le sous-entend, il est question de machisme dans ce docu. De machisme dans l’univers du graff. Sany est une graffeuse tchèque qui en 2009 a décidé de faire le tour du monde à la rencontre des graffeuses pour recueillir leur vécu. Toulouse, New-York, Moscou… Elle a visité 15 villes et livre dans ce docu des témoignages assez choquants ! Non les graffeurs ne sont pas tous des mecs « à la cool ». Télérama en avait parlé à sa sortie !
Un site : Street-Art Lyon
On a déjà mentionné plusieurs fois Street-Art Lyon et pour cause : c’est la référence lyonnaise pour se tenir au courant ! On aime les suivre sur Facebook pour découvrir toutes les nouvelles oeuvres à aller admirer dans notre ville, ainsi que parcourir leur site pour connaître tous les évènements : expos, vernissages, festivals…
Une série : Ceci n’est pas un graffiti
Une série de mini documentaires signée Arte avec des épisodes sur différentes thématiques : les origines du street-art, la place des femmes dans cet art, le street-art engagé, le marketing… Un bon moyen de découvrir plein d’artistes et d’entendre des points de vues intéressants sur ces questions-là.
Une artiste : Tatyana Fazlalizadeh
Cette illustratrice et street-artiste américaine se bat pour faire avancer le féminisme. De ses différents projets, on adhère totalement à « Stop Telling Women to Smile« . Un projet de collages dans les rues de Brooklyn pour faire changer les mentalités quant au harcèlement de rue.
Et vous, quelles sont vos inspirations street-art ?